Éric : « J'étais très jeune, je n’avais que 16 ans. Un de mes amis, qui travaillait ici, m’avait dit qu'avec mon expérience de soudeur (j'avais appris le métier dans une entreprise de volets roulants), je devrais me présenter chez Radson. C’est ce que j'ai fait, et je n’en suis jamais reparti. »
« Oui, c'est vrai, j'ai eu beaucoup d'opportunités ici, et j'ai toujours pu faire ce que j’aimais. On peut toucher à tout. L’entreprise nous y encourage, et pour nous, c’est très motivant : on développe une quantité impressionnante de compétences et de connaissances. Évidemment, on en apprend plus quand on aime son travail. J'ai ainsi participé à la conception du prototype du radiateur vertical, qui est encore aujourd'hui l'un de nos produits phares. J’en suis très fier.
Plus tard, j'ai travaillé à la révision des radiateurs qui sortaient de la production avec des défauts. La qualité est très importante pour Radson, mais aussi pour moi : les coups et les erreurs ne sont pas permis. Au fond, j'aime aider les gens à trouver un radiateur parfait. »
« Le fait que nous formions une bonne équipe. Nous faisons régulièrement des choses amusantes, comme aller au bowling ou à un parc d’attractions avec les enfants. Il y a même un club sportif Radson, qui organise presque tous les dimanches des sorties à vélo et prévoit pas mal d’activités. De plus, entre collègues, nous apprenons beaucoup les uns des autres. »
« Pas facile, il y en a beaucoup. Mais celui qui me revient tout de suite à l’esprit, c’est lorsqu’un collègue avait inscrit Radson à une émission de caméra cachée, et que notre équipe de service après vente s’est fait piéger. Les collègues ont dû se rendre dans un monastère pour remplacer un radiateur ; sur place, les nonnes les ont obligés à enfiler une aube et à se signer devant un crucifix. Bon sang ! On n’a pas fini d’en rire. »
« J'ai participé à la conception du prototype du radiateur vertical, qui est encore aujourd'hui l'un de nos produits phares. J’en suis très fier. »